⚠️ A FUIR ⚠️
Je fais suite à la réponse que vous avez publiée, suite à mon avis ainsi qu’aux accusations portées à mon égard. ( cf avis Alastra Marine)
Que devrais-je dire, alors, de votre attitude et de l’image que vous donnez à votre entreprise ?
Évidemment, ma robe ne peut pas porter l’identifiant « Robe délicate » qui lui est destiné, puisque c’est mon voile de mariée qui porte cet intitulé (cf. photo)!!
Une preuve supplémentaire de votre incompétence et de votre manque de rigueur tant dans l’étiquetage que dans la prise en charge des pièces qui vous sont confiées.
Les vestes, chemises et pantalons étaient des pièces de mon mari, auxquelles je n'ai rien à redire.
Ma robe de mariée, quant à elle, n'est peut-être pas à votre goût, mais je me passerai volontiers d' un jugement inconvenant supplémentaire de votre part.
Si vous recherchez la marque figurant sur son étiquette, « Rime Arodaky », vous constaterez qu’il s’agit exclusivement d’une créatrice de robes de mariée.
J’ai déposé cette robe et réglé le service en tant que « Robe délicate ».
Non, je n’ai pas effectué de « cadrage judicieux » de la facture : la ligne à laquelle vous faites référence, mentionnant vos exclusions, n’existe tout simplement pas (cf. photo).
Oui, je refuse d’envoyer ma robe pour la simple recouture d’un bouton, car celui-ci a été cassé et rayé par vos soins au même titre que les douze autres.
Il ne s’agit donc pas d’un dommage isolé, mais bien d’une dégradation sur l’ensemble des boutons de la robe.
Il n’est donc pas question de recoudre des éléments défectueux.
Je vous ai demandé quelles solutions vous pouviez m’apporter face aux dégâts engendrés.
Face à votre mépris et à vos propos déplacés, j’ai sollicité une indemnisation correspondant à la valeur de ma robe, soit 705 € (cf. facture), puisque aucun geste commercial ne m’a été proposé.
Je ne suis pas une voleuse, contrairement à ce que vous laissez entendre dans votre précédent message.
Je demande simplement à être dédommagée pour le préjudice subi du fait de votre pressing, sur un bien qui m’appartient.
Je vous tiens évidemment responsable au regard des éléments et des erreurs accumulées de votre part.
Je me permets également de vous rappeler qu’en vertu de l’article 1231-1 du Code civil, un pressing est tenu à une obligation de résultat et doit restituer le vêtement confié dans l’état où il l’a reçu — ce qui est manifestement loin d’être le cas.
Enfin, votre simple pancarte ne saurait exonérer automatiquement les dommages causés aux boutons : elle ne constitue pas une clause contractuelle.
Je n’ai jamais accepté expressément ce risque au moment du dépôt, et aucune réserve ne figure sur mon ticket.
Je souhaite privilégier une résolution amiable et rapide de ce différend, et vous invite à revenir vers moi afin de trouver une solution équitable.